Victor hugo
(1802-1885)
Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besancon en France. Poète, romancier et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l'un des géants de la littérature française.Les romans les plus connus de Victor Hugo sont "Notre-Dame de Paris" (1831) et"Les Miserables" (1862).
L'auteur des Misérables, des Châtiments et de nombreux poèmes a allié à la fois ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne pouvait que concourir à ce mélange de fascination et d'irritation qu'il suscite encore aujourd'hui. I écrivait avec simplicité et puissance les bonheurs et malheurs de la vie. Victor Hugo était un travailleur acharné.
Entre 1827 ( Préface de son drame Cromwell) et 1830 (représentation d'Hernani, qui …ver más…
Cette première partie recherche l’attention de son auditoire, elle est la promesse de la continuité de l’écoute et suscite donc sa curiosité. L’auteur établit un lien fort entre le personnage principal et le lecteur, celui-ci s’investit moralement et semble participer à l’histoire, il est néanmoins limité à son siège de spectateur, sans aucune interaction possible.
De l’incarcération à l’échafaud (p.12-43), cette seconde partie se détache des deux autres, la narration tient une place plus importante. En effet, les idées que l’auteur développe sur la peine de mort, dans la troisième partie, prennent appui sur le récit précèdent qui devient alors une illustration des propos avancés. Dans cette seconde partie, Claude se lie d’amitié avec un autre détenu, Albin, qui partage sa maigre ration de nourriture avec lui. Le directeur des ateliers, surnommé M-D, n’apprécie pas le condamné Claude, celui-ci semble exercer trop d’autorité sur ses camarades prisonniers. Aussi, M-D décide-t-il de changer Albin de quartier de prisonnier. Claude essaie de récupérer son camarade, mais le directeur n’agit pas. Désespéré, il décide de l’assassiner et tente de se suicider. Il survit, l’autre meurt, la maison centrale de Clairvaux devait se débarrasser de l’un des deux. Claude est jugé et condamné à la peine capitale.
L’État, l’instruction publique et la peine de mort (p.44-50), cette troisième et dernière